Face aux défis d’une économie en pleine mutation et de la pandémie de COVID-19, les entreprises high-tech continuent de donner la priorité aux parts de marché, à l’augmentation du chiffre d’affaires, à la maîtrise des coûts et à l’efficacité. Ce secteur, très fluide et extrêmement concurrentiel, est favorable aux entreprises suffisamment agiles pour anticiper les nouvelles tendances, y réagir et commercialiser rapidement des produits innovants. Si la high-tech n’est pas le seul secteur confronté à la transformation digitale et à la disruption, elle se trouve en revanche à l’épicentre d’un cycle perpétuel de destruction créative qui engendre de nouveaux modèles commerciaux et une efficacité opérationnelle optimisée par les algorithmes et l’automatisation.

Dans un contexte où les entreprises high-tech doivent en faire plus avec moins de moyens, l’architecture de l’expérience client est essentielle. Ces sociétés sont en quête de nouvelles sources d’efficacité opérationnelle et cherchent à maîtriser les coûts et limiter les redondances. Les activités courantes demandant une main-d’oeuvre importante, comme l’assemblage de jeux de données, le dépannage de scripts de code personnalisés et la normalisation des bases de code, sont vouées à disparaître.